Un réseau national de 31 stations de mesure de la qualité de l’air a été progressivement développé. Sa gestion a été déléguée à la Météorologie nationale.
Enfin, une étude écoépidémiologique de grande envergure a été lancée en 2009 pour le grand Casablanca et achevée en 2015. En modélisant les risques de pollution pour la santé à partir des données croisées du réseau de surveillance de la qualité de l’air et des données de santé recueillies, elle prélude à un dispositif de veille sanitaire dans les villes du Maroc. Elle permettra d’y déclencher des alertes pollution.